La cité morale des économistes
Essai sur la portée politique de la science économique

Mon e-livre par Antoine Fréjaville

Préface de Jean Cartelier | Sommaire | Introduction | Conclusion | Annexe | Bibliographie
Chapitre 1 | Chapitre 2 |Chapitre 3 | Chapitre 4 | Chapitre 5 | Chapitre 6 | Chapitre 7
     
  Cet e.livre est le produit très très très dérivé de ma thèse soutenue à l'université d'Evry en tant qu'allocataire/moniteur (ma seule réussite dans la vie). J'ai bénéficié, pour sa réalisation, de l'aide de trois (forcément) éminents professeurs d'économie, qui ont encouragé et soutenu mon projet.
(Université Paris-X / EconomiX pour tous les trois).

Le professeur Carlo Benetti, m'a proposé d'écrire ce livre – qui est devenu un e.livre en raison de la fin des subventions ministérielles à la publication dans ce domaine. Il m'a aidé à franchir les étapes menant du propos humble et poli de la thèse aux propositions d'ampleur stratosphérique que j'exprime dans le e.livre (et qui, évidemment, n'engagent que moi). Il m'a également fait comprendre ce qu'était une économie décentralisée.

Le professeur Antoine Rebeyrol m'a énormément aidé tout le temps. Il a passé beaucoup d'heures à m'expliquer calmement les rudiments de la théorie économique et encore beaucoup d'autres heures à lire et corriger mes ébauches. Le professeur Rebeyrol a, de plus, très activement participé à la mise au point des équations, très simples pour lui – et selon tous les standard académiques – et très compliquées pour moi, qui décorent la section 2 du chapitre 7 de ce e.livre.

Le professeur Jean Cartelier a accepté de relire mon manuscrit. Il m'a permis d'en corriger certaines erreurs et il a bien voulu en écrire une préface (qui devait être celle du livre-papier). Il attire mon attention et donc la votre sur le fait que « la science économique» dont je parle n'est pas toute la science mais, disons, le 'mainstream'.

Mon e.livre tente de faire partie de la vaste et croissante littérature sur les liens entre la science économique et la philosophie morale et politique, dont le paradoxe du paretien liberal de Sen (1970) constitue peut être l'acte fondateur.
Après Benetti (1997) j'essaie de montrer que ce n'est pas seulement l'économie normative qui est engagée dans l'écriture de normes pour la cité, mais également l'économie dite positive. La science économique 'mainstream' aujourd'hui me semble être, dans son entier, la construction d'une cité bien ordonnée – pour paraphraser la célèbre formule de John Rawls.
Enfin, et c'est l'originalité que je revendique, je soutiens qu'au cours de cette mise en oeuvre des normes, il y a quelque chose qui se perd et qui est la liberté individuelle. Pas la liberté animale de fuir la peine et de rechercher le plaisir (pas au début, en tout cas), mais la liberté à la fois politique et économique de choisir, pour chacun, la manière dont il ou elle alloue ses ressources.

Ce e.livre est composé des 7 chapitres que voici (vous pouvez les télécharger, imprimer, brocher... si ils vous plaisent – je ne fournis pas la reliure cuir).
Le chapitre 7 peut être lu à part, il est le seul à contenir des propositions à prétention analytique, en dépit de moyens mathématiques extrèmement rudimentaires, pour lequels je présente mes excuses au lecteur.
La préface du professeur Cartelier a, de même, son intérêt propre et peut être, également, lue de manière autonome.

 
 
Antoine Fréjaville
avril 2007

 
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